Et nous quittons Berlin pour l’aéroport après une semaine au Festival Georges Brassens à Basdorf,
là où l’artiste était travailleur forcé durant la dernière guerre mondiale (STO).
C’était la quatrième fois que nous étions invités à partager les concerts en différents lieux avec des artistes venus de partout, du Chili, de Pologne, de Syrie, d’Europe…
Ces voix sans frontières élevées comme une flamme d’Olympe, un élan fantastique Orchestré par Marion, Jörgen, Corine et les formidables bénévoles….
Cette humanité qui aide à l’espoir.
Là nous avons vécu une fois encore de ces moments inoubliables, voire précieux les uns les unes et les autres,
des soirées de concerts et d’after (après-concerts) à tue-tête.
des soirées de concerts et d’after (après-concerts) à tue-tête.
Georges a dû pouffer de rire de toutes ces fêtes de toutes ces versions personnalisées,
de cette soirée ouverte à l’improvisation dans l’église de Basdorf, un temps de grâce vraiment.
Loin des égos surdimensionnés des réseaux chanson bidules et du show des bises, ça fait du bien pour nos convictions cette intime semaine !
Nous sommes des porteurs d’eau divine, la Parole en l’air.
Cet art majeur ce trait d’union qui fait l’humeur du grand chœur du monde.
Et si les politiques les politichiens et leurs guerres mentales nous aveuglent, nous envahissent de peurs et nous manipulent, notre force demeure…
Et chaque être humain quel qu’il soit où qu’il aille, chante de par le monde parfois sans le savoir !
Dès l’enfance nous sommes beaux de refrains heureux. Les pouvoirs quant à eux mourront tôt ou tard de leur volonté déchaînée.
Restons ensemble à veiller .
Merci les amis pour nos courages immenses de persévérance, merci au grand Georges de ce qu’il nous permet ce grand Cercle humain sur terre.