Etre à Paris ne signifie pas être.
Pas totalement en tous cas.
Je passe mes journées à être mais, perdu,
éperdu moins …
Quelle période, quelle ville, quelles gens
le tempo est de sueur métropolitaine et sûre pas très attirante.
L’homme est à la souffrance et raille de telle manière.
Les portes sont de verre ou de métal
fausse transparence, enfermances
les mélanges sont de lie, les regards de méfiance.
Dégagez rien à boire.
Paris ne joue plus, Paris by night mon cul !
Dégagez ou on porte plainte pour tapage !
Plus de lien, les masques sont des casques.
Ils casernent pas loin.
Et les plumes qu’on laisse.
Une espèce de vitesse à contre sens,
vers une absence
de l’être.
L’incohérence .
Individés,
l’air est lourd bien plus que l’or ne s’arrache
et les affiches n’en disent pas plus sur la réalité malade
des ces irréalités mentales.
Ville armée par derrière
France nucléaire,
peuple esclavé,
mine de rien
plus de cran,
à l’arrêt,
le front mené à taire.
Ici, certains se la pètent à juger 4×4 les pays en dictature !!!
Nous n’en sommes pas loin,
le nain et son jardin l’Allemagne, si près…
Grand donneur de leçon va…
Nous,
nous sommes las pour apprendre.
Vient le temps de nous reprendre,
lâcher nos peurs et nos crédits,
tout reprendre,
ne plus dépendre,
ne pas nous laisser pendre,
nous défendre,
la richesse est ailleurs,
c’est écrit.
Nous déclarer la Paix.
Et si nous laissions
les intérêts qui nous séparent pour nous repartager,
nous honorer ?
Nous appliquer aux droits de l’âme.