Depuis plusieurs semaines je suis sur une nouvelle mélodie,
un passage qui me touche et les mots
comme les oiseaux avec le trop soleil,
ces derniers jours,
le blues s’en mêle et la tristesse fait son vacarme
et bien les mots ne sonnent pas comme je le souhaite.
Ca me brûle d’un sans ailes.
Il est bon pour moi de ne pas forcer ?
Ok, mais l’agacement je le sens qui monte !
Nous sommes toujours chez nos amis près de Toulouse,
un régal de bien-être, de respect,
d’écoute sincère,
de rires fous,
de pleurs aussi sur la vie qui nous marque
les maux qui, comme des épreuves indispensables,
nous mettent en bord des eaux sales de la peur.
Ces temps d’après avoir vécu là aussi avec nos enfants,
des jours de vacances, ce plein d’adolescences,
ces canoés sur l’Aveyron
les avirons du départ et puis
là, dedans … pas de sagesse.
juste le désir d’un autrement, d’une vie plus aisée,
easy aussi.
Comment faire pour trouver une maison plus confortable
et les accueillir plus souvent ?
En parler, écrire notre rêve d’un 120 m2 près de Marseille
et que le vent fasse circuler notre souhait.
Puis laisser vivre,
l’une ou l’un d’entre vous aura bien une idée,
un contact, bref …
Les p’tits papiers !
Je vous envoie un arc-en-ciel de souhaits favorables pour que vos désirs se réalisent. Bisous baslaurentiens.