A quoi bon s’en aller
s’éprendre des routes
des larmes de ciel
des traits d’union sol-air
comme refuser
l’espace
le spécimen and women
les flaques d’encre volées
aux anges défendus.
A quoi bon oui rouler
des cendres parfumées
des pensées plus que de coutume
et sans filtres.
Flirter avec l’inutile ?
Se dessaisir des préjudices
y mettre le feu.
A quoi bon
d’un bond
dérouler
tapisser
le parterre des mots
la folie des splendeurs
si ton cœur n’a plus l’âme
si tes pleurs n’ont plus de larmes
si tu restes à vouloir
à longueur de couloirs une autre face cachée.
A quoi bon tant se dire
si la scène océane se brise
au panorama,
au rocher des possibles alités
décousus
décousus
dépourvus
de points de vues
sur l’envie amarrée
plus que sur le désir enfiévré.
A quoi bon vaguer d’occupations dis…
Notre grand amour a deux voix
deux guitares
sans effets,
c’en est fait du simple,
l’amour nu.
On double et on rentre.
Promis.
Promis.