Bleu bleu le ciel de Provence
ou de tes yeux !
Je l’attends cette tournée, je l’entends
comme un manège pour toi et moi
la neige
pour toit
l’émoi qui passe
A l’écoute de chaque seconde qui sonne
comme un chant Iglootique,
un gel des affaires inutiles face
au terme de ce vocabulaire en pousse
en passe verticale.
Langue de soi , les yeux dans l’Autre
J’ai hâte d’apprendre à laisser.
Ne plus me sentir blessé d’inutiles
et t’offrir de partager le simple inoui
le soleil de la nuit
Love, tu l’entends toi aussi
ce manège d’eux de nous ?
Comment reviendrons-nous, plus jamais comme avant .
Et la neige au fond, au fin fond de l’eau
Toujours plus loin, pure la voix la main.
la neige
pour toit
l’émoi qui passe
d’avoir l’été.
Je pensais aux ailes de la colombe
Aux messages amoureux, enflammés
Au soleil reflété sur mer douce et turquoise
Aux voyages
Tes mains qui coulent sur ma peau
Aux chapeaux qui t’emportent
A tes yeux malicieux
Aux montagnes de rires
A nos substances de lune
Au texte à écrire
Aux urgences de l’âme et ses vagues de cils
Les regards
Les désirs
La lumière dans la pièce blanche fenêtre ouverte et volets bleus
Les miettes au lit
La peau des draps polis de caresses de massages envoûtants, mielleux
Au moment de partir la main gauche sur la poignée de la porte
Je pensais…à l’instant
Envie d’être heureux
Je suis heureux d’être en vie