Un jour après l’autre
un pas à pas d’un pied
béquille à jouer
béquilles est qui ?
Dans ce jeu de quilles,
en convalescence,
la chanson de coté,
le refrain dans les mains
le coup plaît sans plus…
Nous pour aujourd’hui
on lâche pour un autre air,
on lâche pour un autre air,
les jardins de Montréal,
au vent d’aiguilles,
on se montre,
oh pas long mais quelques tours de roues
oh pas long mais quelques tours de roues
quand même !
Et du cinéma,
« La maison Giguère »
nous invite de Dvd en Dvd
on se cultive
l’autre rive de soi,
on se cultive
l’autre rive de soi,
on se livre aussi,
on se gâte au sucré.
les bons petits repas
le repos
repus
le répit…
et pis,
dépités
le thé vers 4h
en attendant la neige,
Godot lui n’est pas là.
Il cherche ses planches
on le salue !
Godot lui n’est pas là.
Il cherche ses planches
on le salue !
Oui je disais,
on guette
on goutte
au travers des persiennes
le bleu-jean cool qui passe
on goutte
au travers des persiennes
le bleu-jean cool qui passe
au bleu gris blues
la poésie finale des feuilles à terre
le lent et merveilleux chemin de rien
jusqu’à la nuit née.
Vivre et laisser vivre.
le lent et merveilleux chemin de rien
jusqu’à la nuit née.
Vivre et laisser vivre.
On pense à Joël,
aux amis loin,
aux amis loin,
et qu’on aime,
impuissants, loin,
on pense à Noël,
à ceux qui souffrent plus encore,
en mal d’erreurs et de corps,
le mot râle nous laisse
une nouvelle joie simple
d’être.
on pense à Noël,
à ceux qui souffrent plus encore,
en mal d’erreurs et de corps,
le mot râle nous laisse
une nouvelle joie simple
d’être.
Blessés ou pas
on renaît chaque instant
de ce que l’on est
comme on est.
comme on est.
Chrysalide
le coeur valide
avec vous
toujours vous
toujours vous
en attendant de vous le chanter,
j’avoue que j’aime
Vyviann
…
et vous !
Bonjour à vous deux,
Cela fait longtemps que je n’étais pas venu sur votre blogue; Et que lige!!! Ah c’est malin, se prendre les pieds dans un cable !… ô moins l’opportunité de lire encore plus vos jolis mots et poèmes …Merci beaucoup Gilbert
Oh oui on vous aime!
on vous l’avoue aussi…
Pour ce que vous êtes
Pour cette poésie
que vous continuez à tisser…
pas à pas…
En ces chemins si nueux…
Bonne renaissance
Prenez bon temps de cette reconstruction…
La nature offre des instants magiques
de ressourcement…
vos images et vos mots en rayonnent…
La vie sourit chaque jour
aux apprivoiseurs
de jolis petits bonheurs
Et vous en êtes…
papillons éphémères …
Aux battements d’ailes sans frontière,
Libre comme un air de liberté
qui emporterait ce vent d’aiguilles…
Prenez soin de vous ensemble
Biensûr que nous l’aimons toi aussi d ‘ailleurs ,,,,
on pense fort à vous deux ,,,,, gros bisous