Alcaz à Paris


France, terre d’accueil

mon œil …

Mon cul, aurait dit Léo

et ses copains d’la Neuille !

ALCAZ

(Vyvian Cayol et Jean-Yves Liévaux)
 

la nuit du 13 au 14 octobre (en direct de 01 / 02h)
« sous le soleil exactement »

sur France-inter avec Serge Levaillant

 

et  le

 
15 octobre

 

au
Forum Léo Ferré
avec en première partie

Fred Musset

11 rue Barbès 94200 à Ivry Sur Seine

Tel : 0146726468


Yeahhh la Cafête !

Ah,
la Cafet’Yères près de Dieppe,


un Bistrot comme il n’y en a plus.
220 habitants habitués du temps, des coups durs.
Tout est tellement fait pour casser ce genre de lieu,
ces endroits de rencontres de partages,
de verres en verbes,
de babs en bibs,
cette fraternité marquante.
D’ailleurs ils disparaissent au fil des contrôles à la sortie du village vous savez,
au fil des plaintes …
Oui on est dans la fermeture c’est clair !


Bref,
Sylvain est là qui nous attend, la joyeuseté dans les yeux,
sa belle et leur soif d’amour,
non pas en tous genres mais en tous gens.
On se sent bien de suite et comme bercés d’un bel air,
la chanson  est partout qui suinte.
Tous les grands sont là, collés aux murs de la salle en bout de bar.
Nous voilà donc en famille.
La soirée  nous stresse un peu,
quant on sait que les amateurs de chanson sans fraises viennent en nombre.
On est plutôt à chanter la légèreté de lettres …
Sylvain s’est démené comme un fou pour sa reine poésille.
Salle comble, chaud sous les projos à moins d’un mètre,
on entend les respir’  et les souffles d’écoute …
On offre quelques brins de Léo comme un cadeau,
on le chante à l’inspir’
Vyvian met son cœur sur les lèvres et ses mains en bouteille,
tous y boivent à plaisir, elle est magnifique,
si grande dame ce soir à leur servir à voir.
Quelle classe !


Une grande soirée !!!
Le public est conquis, les rires,
les compliments volent,
et la nuit fera le reste,
nous sommes les passeurs.
Une amitié naissante se dessine là au matin,
autour de la table entre nous.

Merci les amis, merci de ces courages,de ces luttes.

Sylvain, maire-chanteur, ta douce et jeune mariée,
nous vous serrons dans nos bras et repartons pour revenir encore,
c’est sûr, on vous le chante.


Janzé

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Ah Janzé!

Quelle soirée,
on arrivait de La Rochelle, plus loin encore,
de l’Art en Bar à la Roche sur Yon où Delphine et Christian
nous accueillaient de leurs bras bien verts et des élans de cette joie qui réconforte .
L’amitié elle est là dans ces bras là, des regards comme des voyages invités.
Le concert et l’ensuite furent riches de ces retrouvailles
avec les amis rencontrés il y a deux ans dans la tournée “Chant’appart”
là aussi quel étonnement,
cette fidélité touchante … Vous revoir et vous sentir dans les cordes et …
oui que c’est bon , si la chanson existe c’est aussi pour ces liens profonds.
Puis le lendemain en route

vers ce concert pour l’association qui s’occupe des handicapés,
le MAS de Chanterelles à Mouilleron le Captif, des gens ,
une équipe qui donne et se donne pour partager la vie
et laisser passer l’amour quels qu’en soient les corps les cœurs et les gestes.
Merci Thierry et toute votre famille de nous inviter ,
de nous permettre d’offrir et partager un bord d’azur .
Des anges.
Quelques jours en famille à La Rochelle et puis Janzé,
en route vers une belle histoire là aussi.
D’autres manières,d’autres attitudes mais un même désir sincère,
ce fil qui nous relie, ce Verbe au vent pareil.
Nous sommes très en respiration avec Bernard Colloc qui nous souhaitait
depuis l’an dernier où il nous avait vu jouer dans une ferme,
dans le fameux cadre des “Chant’appart”.
On savait que ce qui allait se passer serait intense comme un moment présent,
tout en retenues, en délicatesses, avec ses proches.
On a partagé le poisson mais aussi la moisson.
Le concert a donné lieu à bien des plaisirs
et des projets nouveaux sur la région et dans le cœur des gens de la commune.
D’autres de leurs amis qui ouvrent bientôt un bistrot chansons, philo, culture…
Courageux généreux et éveillés,
un vrai plaisir que d’entendre ces enthousiasmes et ces convictions.
Et puis se séparer, oui laisser vivre le temps qui nous mène,
respecter ces tensions de passage, l’émotion,
reprendre la route après peu d’heures de sommeil,
en plein soleil.

A bientôt “centre du monde habité” comme le chante Alan Stivell,
allez on file vers la Haute Normandie