Quand les syndicalent …
C comme GT nos engagements à la poubelle.
Quelle sera la prochaine escale,
on nous prend pour qui ma belle  ?

Et maintenant FO battre en retraite ?

DIRE OUI,

oui

oui

ou

oui

oui oui

oui oui oui

et merci

mer si

mère si

Mère

Les amis,
le miracle est possible pour ceux qui souffrent de la dépendance aux drogues,
à l’alcool,
un centre magnifique fait d’écoute et de travail sur soi.

Fini le temps de la honte, la culpabilité …
il est possible de se relever,
d’être abstinent, fier de soi et reprendre ses responsabilités,

l’amour de soi.

Narcotiques Anonymes

0 800 88 12 88 (appel gratuit sur les fixes)

et aussi

Le centre de cure APTE de Soissons

03 23  72 22 80

On aura joué là une carte unique,
hors du jeu !
La carte de la rencontre entre le vin et le divin au Château Thivin.

Qu’est-ce à dire ?

Et bien, en mai dernier
nous avions donné un concert-dégustation sur Paris
dans les Caves Legrand, père et filles.
L’invité n’était autre que le propriétaire et vigneron, Claude Geoffray,
avec ses grands crus, ses dégustations de Beaujolais.
ALCAZ avait alors partagé les vers et bu à la source !
Le public enivré pour de vrai .
Et tout cela programmé, organisé par le comédien Aladin Reibel
épicurien magnifique et homme des arts au soleil …
des calanques Marseillaises.
Mais la soirée d’alors ne s’est pas arrêtée là,
nous nous étions promis de nous revoir
et de faire le mélange à nouveau mais cette fois en terrain divin !

Claude Geoffray et toute sa famille l’ont fait,
Aladin Reibel l’a fait,
lui qui joue avec Catherine Salviat (comédienne honoraire de la Comédie Française)
un spectacle « Prose champêtre, poésie de jardin »

ALCAZ s’en est mêlé …

Ce fut un régal et pour le public venu de toute la région et pour nous les artistes.
Aladin Reibel a su transformer la cave du Chateau Thivin en une salle à tout dire,
des centaines de bougies pour lumière, des mots en verre,

Rimbaud a dû goûter son meilleur.

Quant à nous,
que dire, ce fut une réelle découverte.
Voir ces gens passionnés de vin, de poésie …
on sort des salles de spectacle
oui, mais pour entrer dans une autre intimité.
Il y a là d’autres regards offerts, des manières nobles,
nous ne pouvions que sublimer.
Quel accueil  cette famille.
Évelyne à la rose, Claude Geoffray osent, offrent
l’ouverture d’esprit et des portes de la Cave à chacun,
un vers couleur de sens.

Nous sommes Vyvian et moi chanceux, et honorés.
Désormais comme Roger Hodgson, nous restons persuadés de faire le plus beau métier du monde.
L’art c’est goûter ensemble et remercier cette terre-mère qui nous agrappe le haut du pavé.

Lyon est une ville que nous chérissons particulièrement
et depuis longtemps.

La journée n’a pas été simple,
un ciel d’hélicos, des uniformes plein les passerelles, les ponts,
des violences qui vous en bouchent un coin.
Provocations, casseurs, blessés ?
Que devient la chanson dans ces moments là, pourquoi chanter,

pour qui ?

Mon coeur est triste de tant de gestes lourds de conséquences.
Ces hommes, ces jeunes hommes ou femmes
nos enfants aux bras cassés cassants.
Mon coeur pleure ces vents absurdes,
ces rues à l’envers.
Je suis le premier à crier
à l’ injustice de ces dernières années
qui profilent qui annoncent  le totalitaire
ou presque …
Et je continue de croire que le capitalisme
nous sépare et nous prépare au néant.

Chanter pour qui ?
Chanter comme un individu ?

non,  la moisson est aux champs
ce que la voix est à l’air.

Etre et ne pas s’faire maître.

 » On pourrait croire
on pourrait changer
nos façons de voir
ou les mélanger
mais qu’est-ce qu’on n’a pas fait
pour en arriver là
et qu’est-ce que ça f’rait
se déclarer la Paix  »

J’ai peur,
mon coeur souffre de la séparance,
des voix sans issues,
mon coeur souffle à mon insu
les bougies  de l’espérance.

Certains soirs …