Un dimanche comme celui-ci ou ailleurs, laisser vivre le vent qui vibre entre les feuilles vierges du Québec! L’arbre aux écureuils, le coté penché des choses et ne chercher en rien a mériter démériter juste méditer sur le printemps des pauses. Regarder les causes et les séquences a détourner, virer de bord, saborder le mental qui, sans manteau me ferait prendre froid. Le corps étiré, détendu dans sa fresque, inventer ou presque le son, la chanson qui file entre l‘émoi et ce petit rien. D’un juste coup de crayon, rayer la toile et son histoire, son devenir, en deviner l’instant thé ni vert ni sage;a boire, arrêt fléchir, peu plier juste courber, faire courber l’encre de chine et d’aucun signe mourir de peine et d’y voir si peu au clair de l’une sans autre possible fléché vers l’ego pour y aller. C’est tout droit comme un devoir, dimanche et pas d’autre mot, dis-le et ma mange ta soupe. Ne pas faire de grimaces ni de masques, de grimasques juste demander comment sortir d’un si de la mon ami ? Un joli jour d’été pour temps ! Le temps nous est conté et nous reste comme le vent, a le ré-aliser. On va tout débattre le fer pour c’est promis. Bon, la balle tu renvoies ou bien !