Le Festival du parc Georges Brassens

pour lequel nous sommes à Paris,
ouvre ses portes ce matin, on a RV à 14h
pour le test de son.

Nous jouerons vers 16h.
Le GPS annonce 20 minutes
de Villemomble à Paris.
La pluie se veut battante,
les périphs bouchés
on mettra deux heures !
Sur place le public,
toutes les mises en place
malheureusement sont abîmées
par ce mauvais tour du temps.
Le kiosque a l’air joli
mais les vents balaient les partitions des musiciens de la fanfare en place.
Puis c’est le duo de chanteurs italiens puis les Algériens,
un superbe groupe tout en douceurs d’ambre,
les voix s’amusent avec les mélodies de l’ami Georges
d’une telle beauté arabe.
Magnificat !
On reste trempés, on oublierait de se mettre à l’abri presque …
Des amis proches nous ont rejoint
les pauvres, ils sont morts de froid,
toutes les installations sont inutiles le vent, les eaux,
tout est en piteux état.
L’équipe des organisateurs est super géniale mais dépassée.
les éléments sont plus forts.
Et puis et puis après la pluie…
ALCAZ
Oui on bénéficiera d’un espace de paix et la joie d’offrir
nos Bras dessus dessous Brassens à l’Alcazienne
dans ce kiosque aéré magique.
Un petit miracle qui nous remonte à tous le moral.
Et quand je dis le mot râle,
j’exagère,
personne ne râlait.
Ce fut malgré tout une très belle journée partagée
de bons artistes généreux.
La soirée verra les uns et les autres
jouer d’autres chansons du maître.
on rentrera tard, sous une autre pluie naissante…

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