John MASSA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il fait si bon sur Marseille
on sent que la journée peut aussi se passer de commentaire,
les gens vont et deviennent
… Ce qu’ils sont.
Le pas à pas reste de goutte à goutte
pas de doutes.
Capable de tout,
du meilleur comme du pire,
harcelée la ville cosmopolitisée se débat, se bat bien.
Le peuple a sa peau et n’en manque pas.
Mal à droite c’est sûr mais,
se bat bien,
relève la tête et les défis
On nous parle de culture 2013

 

 

 

 

 

 

 

 

En attendant, détendus
entendu on attend !
on guette ce soir, le mystère total,
qui sera celui qui saura, fatal.
Au studio Hypérion la clim est en route

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fin de jour,
clin de nuit
pas de place pour l’ennui,
mais pour un nouvel album « Trip » hautement  plus que présentable.
Le concert prend sa forme, class

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un pays de songes, le verbe sax
lèvre carmine, le poète élance des souffles,
verbifuge naissant
des slams à qui veut tels des vagues frivoles.
le band est aux aguets tel un félin percusse.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les musiciens ont le même oeil d’ivoire
et Mr John Massa  peut se la jouer guerrier,
il est, il vibre alors, dressé hors du nid
dans un face à face tel,
on le sent chaud !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si je ferme les yeux ce qui sonne me dépasse et c’est très bien.
Sa voix se pose comme pause
et slame jazzifilante
pour repartir de plus belle hors les mots,
lactée.
Il s’amuse, il joue,
sans ses lunettes
nous fait le coup du serpent
vire funk,
s’arrange et règle ses comptes au rock progressif …
on ne discute pas,
free,
ça vole dans tous les sens,
ça gicle, oh bonne mère !

Vyviann de son coté a laissé tomber le mental
pour une légèreté de mise
elle a perdu la tête dans un solo Aya
je la sens qui s’exile elle excelle
yeux bandés.

 

 

 

 

 

 

Plus rien, il n’y a plus rien
cet homme est un ange qui nous délivre de l’instant tanné
Son regard est un refuge pour des airs en partances,
partageur de sables, sans filet,
il te reconnait au premier son, d’un grain
te laisse en recueil
l’écriture de cuivre, il fait son cadeau sans retenues
puis tourné vers ses musiciens, les chalouppe à remercier mille lunes.

 

 

 

 

 

 

 

 

La ville alors mise à l’épreuve, à l’eau, à nue
l’invite à marcher sur l’air pour toujours.

Rentrer nous sera délicat,
Vyviann elle,
de bonheur danse flotte et toupille,
me détourne en fin, me cruelle du jupon !

 

 

 

 

 

 

 

 

Have a good TRIP brother,
Merci pour l’approche de ce nouvel album.
Mr John Massa, we love you

http://johnmassa.com

 

 

 

 

 

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