Le Festival du parc Georges Brassens (part. 2)

La maison de nos amis est si belle même sous la pluie,
un vrai dimanche de rêve.

On prend le temps tout en guettant la pendule.
Il y a qu’on retourne au festival
on pourrait croire à la même pluie aussi…
On lâche l’idée du périphérique et on passe par les Bds extérieurs,
yes man, personne, ça c’est le top !
En plus il y a des allées centrales toutes en pelouse
pour le futur tramway désir !!!
On se croirait à la campagne,
et pour un peu on baisserait les vitres.
On retrouve un couple ami
le temps d’un resto,
et de remercier car sans eux
on ne serait pas là dans ce festival G. Brassens,
on les aime beaucoup pour leur sensibilité,
elle photographe, lui dans le social.
Deux belles âmes aux mains détendues,
à coeur et sans cris.
La chanson pour eux est un pays sans frontières
bien plus loin que la Parole,
les mots entre-ouverts
le verbe en bandoulière, ils se laissent porter
par les mélodies, les arrangements d’oiseaux,
on les aime fort quoi !
Entre deux averses on y va,
et nous rechanterons deux chansons
avec une telle joie, une telle flamme,
Vyviann tour à tour spanish, vamp,
Marseillaise, en voix dans les yeux,
les mains à portée des leurs,
un vrai tableau vivant à l’Alcazienne
à tout donner tout offrir sans retenue comme si,
mille personnes étaient là, pour 2h de concert, elle se donne
elle donne sans rien attendre waouhhhhhh;
je suis toujours ébloui par cet ange,
et je me dis que j’aimerais lui dire
ce qu’il serait bon de dire
quand on n’ose pas dire
c’est à dire
dire…
Tu es l’ange Vyviann
et je donnerai tout pour
vivre encore plus loin ce chemin d’ailes
avec
Toi .

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