L’Ain et d’autres

 

Il n’y a rien de compliqué
quand on sort des brumes de ce drôle d’endroit
où nous étions la veille sur Aix en Provence.
Revoir les amis, les fidèles, les fans purs et de bon sens …
Ca fait son effet
même sur le sommeil !
C’est simple  alors,
oui car le mental laisse place à la joie
le matin à l’après
et le midi vers l’Ain !
En deux mots on se réveille de là,
plein de gaité de cœur
d’emballements,
des étoiles qui défilent encore,
les ampoules,
ces nouveaux refrains tout en fleurs
et le rappel,
ce « J’avoue » tant aimé !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Allez,
prendre l’autoroute et
bomber filer doux
passer Lyon et laisser faire le reste.
Ca nous fait rire Vyviann et moi
car toute cette verdure
cette beauté qui nous touche,
en fait ce sont les pluies qui s’en occupent.
Allez,
grand beau pour aujourd’hui,
on sait que nous allons vers une famille d’âme,
pourquoi ?
On le sent oui plus qu’on le sait, c’est vrai.
On sort des grands axes et des radars
pour entrer dans une autre partie vitale,
la campagne, les petites routes à une place !

 

 

 

 

 

 

 

 

On se perd,
on appelle on recule,
on se demi-tourne,
le chemin est si beau tracé de soleil de Bresse.
Et le voilà qui apparait,
Dominique,
le sourire du gars qui se régale déjà
mine de rien.
C’est en effet une vraie décision
que d’organiser un concert chez soi,
un engagement précieux, fougueux,
un vrai challenge en région.
BRAVO !

 

 

 

 

 

 

 

 

On fait le tour de la maison
les animaux, les arbres fruitiers,
tout est là qui vit
et nous offre le désir de lâcher illico
nos organisations le temps d’un regard profond.
Pascale sa compagne arrive, les enfants,
la famille est au complet d’un coup et tout se forme,
chaque minute a sa raison de naître
chaque geste est commun !
Pour cette soirée qui s’en vient.
la belle humeur.

Ce sera un concert à ne pas s’y tromper

Nomad’love!

et Vyviann  ensuite me dira combien elle a senti la présence
la force vive de l’Ange.
C’est vrai que nous étions comme portés,
les voix comme tracées,
à souhaiter le bien de chaque personne même absente.
une sensation ouverte.
Tout le beau de ce petit monde
(52 personnes !)
sera heureux de regagner l’extérieur
tellement il a fait chaud durant ces presque deux heures en l’air !
Grignoter, boire, trinquer
se gâter de gâteaux, de sucré
non pas se sucrer non non non …

Des regards, des mots, des envies d’aller plus loin,
certains aimeraient faire de même chez eux,
posent les bonnes questions.
Ça sent bon la chanson du voyage,
le désir prend naissance et nous promet
d’autres sentiers d’écriture,
on se couchera bien tard,
le ciel au plus noir et ses soleils de nuit.

Après voir fini de ranger tous ensemble
et autour d’une dernière table à boire
un  vrai coup de bol !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Se réveiller dans la douceur des odeurs d’arbres,
la lumière des vents
l’espace d’un repas sous le préau,

l’ombre et la chaleur,
les bons mots les partages,
quelques photos avant de se dire merci,
se dire l’essentiel,
se revoir, se revoir oui nous re-sentir,
et bientôt.
On a des larmes légères parfois,
de ces bonheurs inscrits
du cœur, mais chuttttt.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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